• Chapitres

    Chapitres

    C'est au jardin d’Éden, plus couramment appelé Paradis que débute ce récit. Sept garçons ont été maudit par dieu, sept garçons portent le fardeau des sept péchés capitaux et doivent, en un an, être aidé par un humain quelque soit la personne, à condition que cette personne ne soit orgueilleuse, avare, envieuse, colérique, luxurieuse, paresseuse ou gourmande pour être délivré de cette malédiction.

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    « Amis ? Ou êtes-vous ? »

    Tous étaient installés sur le canapé en cuir blanc entourés de femmes qui semblaient satisfaire leur désirs. Traitaient comme des rois, six d'entre eux seulement étaient dans le grand salon ce qui entraîna la curiosité de l'un d'eux.

     « - Ou est Ryōji ? questionna le jeune garçon une sucette à la bouche.
    - Je crois savoir,
    répondit Ryota en regardant le couloir qui menaient aux sept chambres des hôtes.
    - Que fait cet enfant encore une fois ?
    demanda Dieu.
    - Je vais le chercher,
    dit Senbō en ce levant. »

    Le jeune garçon aux cheveux noirs ce dirigea vers la chambre du manquant. Il frappa a la porte, celle ci s'ouvrit après quelques secondes, la pièce était plongé dans le noir et Ryōji se montra au cadrant de la porte à moitié nu.

    « - Tu dormais ?
    - Moi dormir ?
    demanda-t-il amusé, il gloussa. »

    Une femme attendait assise sur le lit, un simple draps cachant sa poitrine et le long de son corps. Elle semblait si pûre, elle sera punie par la vierge Marie sans doute, comme toutes celles que Ryōji avait déviergé pour satisfaire ses envies.

    « - Peut importe, il nous appelle.
    - Qui ? Dieu ?
    - Oui, alors dépêche toi.
    - J'allais attaquer le meilleur,
    dit-il en faisant la moue. »

    Senbō haussa les sourcils et roula des yeux puis retourna au salon en lui disant de se dépêcher.
    En moins de 10 minutes, les voila tous réunis et la nouvelle de Dieu pouvait enfin être dévoilée, pourquoi une telle réunion ? Les plus curieux ne tenaient plus en place.

    « Mes chers enfants, dès aujourd'hui, vous aller quitter le Jardin d'Eden, pour vous rendre sur terre. Vous allez vous offrir une chance. Soyez responsable des uns et des autres, entre aidez-vous durant ce voyage. Trouvez l'humain qui sera votre guide et vous aidera à vaincre votre malédiction, soyez fort. Si, en un an, l'un de vous n'aura pas réussis à vous débarrasser de votre péché, vous quitterez le jardin d'Eden et errerait entre la vie et la mort. Je vous envois dans quelques heures, préparez vous. »

    Les bavardages commencèrent, qu'allaient-ils faire dans le monde des humains ? Comment réussir leur mission ? Tous étaient surexcités, d'autres moins, comment gérer sept personnes maudites ? Le temps de préparation était limité, les voila à la frontière des deux mondes. Dieu leurs ouvrit la porte, ensemble, ils franchirent le seuil de ce nouveau monde qui leur est inconnu.


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  • The aesthetics of a typical cyberpunk city, displayed in Ghost in the Shell. It is dark and gloomy with pops of neon lights. #iml295_week7:

    « - Je ne m'en sors plus avec tout ses cartons...
    - Si tu as besoin d'aide, n'hésite pas !
    - Arigato Rito-san. »

    Je suis Ayuka Suzuki, étudiante à l'université d'Okayama, voila deux semaines que j'y suis installée et que mon temps libre est fortement réduit, tout d'abord, à cause des révisions, de mon petit boulot et ensuite, de ma maison encore en plein déménagement.

    « - A demain Ayuka-chan ! cria mon amie.
    - A demain ! 
    »

    Je lui fit un signe de la main en souriant, Rito est une camarade de classe, elle est une vrai pipelette, mais je l'aime bien ! La marche est pas mal longue jusqu'à chez moi mais je n'aime pas prendre le bus, il y a beaucoup de main baladeuse, je déteste ça plus que tout. J'envoyais un message à ma maman histoire de lui dire que j'ai encore quelques cartons à ouvrir, je vais pouvoir m'y mettre ce soir au moins ! Sur le trajet, alors que je réfléchissais à mon dîner de ce soir, un groupe de garçon d'environ mon âge semblait perdus, je fis mine de ne pas les avoirs vu, quelques soient la personne, je ne dois pas adresser la parole à des inconnus. Alors que je restais concentré sur mon écran de téléphone, l'un d'eux me bloqua la route.

    « - Ca fait plus de deux heures qu'on est paumé, alors toi, humaine, donne nous rapidement des informations sur ses lieux. Ou sommes nous ? commença le jeune homme d'un ton glacial et colérique.

    - J-Je... »

    Rien ne sortait de ma bouche, cette personne était en train de m'agresser et je ne savais que faire. Un autre approcha.

    « - Excuse nous, je suis Ryota, nous sommes des voyageurs... enfin c'est beaucoup trop compliqué. Saurais-tu ou nous pourrions loger ?
    - Tsss... gémissait mon agresseur
    - Il-Il y a un hôtel la bas,
    je pontais du doigt dans cette direction.
    - Merci beaucoup,
    me répondit-il en me souriant. »

    Voila quelqu'un de poli, je les regarda tous les uns après les autres, quels beaux garçons... Je continua alors ma route et réfléchissais encore à cette situation, en y réfléchissant bien, pourquoi m'avait-il appelé "humaine" ? Bizarre.
    Peut m'importe, j'oublia vite cette histoire et rentra chez moi, posa mon sac sur la table et monta à l'étage pour sortir les derniers cartons de la pièce vide.
    Une heure de rangement et j'étais encore loin d'avoir terminé et le temps avait également tourné à l'orage... je descendis et décida de me préparer un repas. Alors que j'épluchais quelques légumes frais, je me souvenus ce que le voisin eu dit « L'hôtel a brûlé, il sera fermé définitivement. », et ses pauvres garçons dehors sous la pluie... Je pris un parapluie, un manteau et sortit la ou je les ai rencontré, ils sont ici, trampés, certains sont contre un arbres, assis sur un banc ou un autre fait les 400 pas, je m'approche, incertaine.

    « - E-Eh ? Vous allez rester ici ? demandais-je.
    - Si tu as meilleur endroit, non, me dit le plus grand des sept.
    - Si je vous invite, demain, vous repartez ? »

    Ils se regardèrent, je ne comprenais pas ce qu'ils se disaient, leurs messes basses m’inquiétait...
    Ils acceptèrent alors, je ne savais pas pourquoi j'ai été à leur rencontre, pourquoi je les ai invité à dormir chez moi mais je savais qu'ils étaient différent.


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